Sami Aoun
Jean Paré
Laure Waridel
Une découverte du professeur Nicolas Gévry, permettra de mieux comprendre les mécanismes de résistance à la stimulation hormonale chez les patients atteints de cancers hormono-dépendants. Cette avancée importante pourrait rendre plus performantes les thérapies utilisées dans les cas de cancer du sein ou encore celui de la prostate. Le biologiste moléculaire Nicolas Gévry et son équipe ont réussi à démontrer que le facteur H2A.Z de la chromatine (la forme compactée de l'ADN) joue un rôle essentiel à la régulation des récepteurs de l'œstrogène. Cette découverte apporte ainsi un nouvel éclairage sur les mécanismes de résistance à la stimulation hormonale. Chez les patientes atteintes d'un cancer du sein, la croissance de la tumeur peut parfois être stimulée par certaines hormones. Lorsqu'on observe une réponse positive des récepteurs de l'œstrogène chez la patiente, il est alors possible d'envisager une thérapie adaptée, souvent moins contraignante et nocive que la chimiothérapie ou la radiothérapie.
vol. 3, no 1
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